Jean-Jacques MAURON
Formé aux marins-pompiers à Marseille, après un service militaire à Toulon dans la marine, Jean-Jacques MAURON se met au service de la caserne de Saint-Rémy pendant près de 30 ans, intervenant entre autres en qualité d’urgentiste sur les trop nombreux accidents nocturnes qui endeuillent nos familles. Des souvenirs douloureux qui tranchent avec son bonheur à la maison où ses filles Hélène, Mathilde et Claire - et désormais son petit-fils Aaron - lui réservent leur plus beau sourire, aux côtés de son épouse qui choisit d’interrompre sa carrière dès 1992 pour se consacrer à leur éducation.
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Crise sanitaire oblige, il a encore augmenté son rythme de visites (à domicile notamment) pour accompagner les Saint-Rémois dans cette période anxiogène, douloureuse et toujours incertaine. A l’origine du premier centre de dépistage à L’Alpilium au plus fort de la crise, il continue d’assurer la vaccination du grand public, et notamment des plus fragiles, de tenir la population informée de l’évolution du virus et du niveau de saturation des hôpitaux.
Résidant au bien-nommé « Enclos Antoine Mauron », Jean-Jacques MAURON est sensibilisé très tôt à l’engagement politique, puisque son grand-père fut maire de Saint-Rémy de 1925 à 1935, et son père conseiller municipal et également juge au tribunal de commerce. Une tradition qu’il perpétue aujourd’hui au sein du Renouveau Saint-Rémois, au nom de la confiance, de l’écoute et de la proximité qui le caractérisent.
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« Notre équipe est très représentative des Saint-Rémois, déterminée à travailler à la conservation de notre identité et à l’avenir de notre commune », prévient le médecin généraliste qui concède avoir renoncé à une spécialisation médicale pour ne pas s’éloigner de Saint-Rémy. Un choix guidé par l'humilité, le cœur et l’authenticité. Des valeurs plus que jamais mises au service des Saint-Rémois ces dernières semaines, en pleine crise sanitaire. Des valeurs qu'il met un point d'honneur à transmettre quotidiennement à toutes les générations.